Au-delà des frontières

Newsletter N°7

Felix Jahan ; étudiant L3 Gestion

Felix participe au projet Erasmus et va donc nous partager son expérience, lui qui a choisi de partir étudier en Grèce

  • Qu’est-ce qui t’as motivé à faire cet Erasmus ? Pourquoi avoir choisi la Grèce ?

« Ce qui m’a motivé est le fait de pouvoir vivre une nouvelle expérience à l’étranger et d’entreprendre quelque chose de nouveau. J’ai choisi la Grèce pour améliorer mon niveau d’anglais et c’était l’un des seuls pays avec la Norvège où l’on pouvait parler anglais. A choisir entre ces 2 pays j’ai préféré la Grèce et je ne le regrette absolument pas ! »

  • Quelles sont les démarches que tu as dû faire pour réaliser ce projet ? Bénéficies-tu d’aides de l’université ?

« Tout s’est déroulé sur mobility online avec les relations internationales que possède l’université de Tours. N’étant pas étudiant boursier, mes seules aides sont celles d’Erasmus et celles de Mobi’ centre qui m’aident quand même énormément dans ce projet »

  • Comment s’est déroulée ton installation notamment en cette période de pandémie et comment était ton accueil en Grèce ?

« Tout s’est bien déroulé grâce à l’agence qui me loge, tout était prêt dès mon arrivée ! Les Grecs semblent assez froids au début mais ils sont finalement très gentils et accueillants avec nous ! Quand je suis arrivé il y a un mois la Covid ne semblait pas être trop développée et le port du masque n’était pas encore quelque chose d’habituel mais maintenant de plus en plus de personnes commencent à le porter. »

  • La vie étudiante en Grèce est-elle similaire à celle en France ?

« Je ne me suis pas encore trop habitué à la vie étudiante grecque, je vis un peu plus avec les autres étudiants d’Erasmus car le projet est très bien organisé et nous sommes souvent ensemble. Évidemment un peu moins en ce moment à cause de la pandémie. Sinon les Grecs vivent plus ou moins comme nous en général et aiment aussi sortir !”

“ Au niveau des cours universitaires je pense avoir des semaines un peu moins chargées qu’à l’Université en France. On a aussi plus de projets à faire par nous-mêmes, de livres à lire, des articles à rédiger,… Je préfère cette méthode car je me sens plus libre et autonome dans mon travail et aussi plus responsable. »

  • Quels conseils pourrais-tu donner à un étudiant qui souhaiterait aussi réaliser ce projet ?

“ La vie en Grèce est plutôt confortable ce qui est un bon point surtout en tant qu’étudiant. Il ne faut pas hésiter à parler avec eux et aussi faire attention aux méthodes de ventes dites  “attrape-touriste”. On a l’impression d’être à la fois en vacances et en cours car la Grèce est vraiment un beau pays alors n’hésitez surtout pas à en faire l’expérience si vous en avez la possibilité, vous ne le regretterez pas !”

Newsletter N°5

Le 24 Janvier, la « Nuit de L’international » IAE France a été organisé. Ce Business Game Inter-IAE était constitué de 4 épreuves et a duré de 16h à 21h. Pour ce Business Game, les équipes devaient résoudre un cas pratique et faire des recommandations.

Parmi les 31 équipes, deux équipes d’étudiants de l’IAE de Tours y participaient. Ces deux équipes participantes étaient composées de :             

  • Equipe 1 : Ladrat Morgan, Cheriaux Dimitri, Cresson Clément, Lardeau Rudy et Martins Amandine
  • Equipe 2 : Hauser Millowan, Karapetian Mihran, Gaine Ulrich et Gaudin Julien.

Le jury était composé de 3 enseignants : Mr Agbokanzo Koffi, Mr Desgourdes Clement et Madame Vaziri Tannaz ainsi que 2 étudiantes de L3 : Leger Coralie et Hamrouni Inès.

Le professeur Larmarque, président de IAE France est venu dans la salle afin d’assister à la visio conférence ayant eu lieu à 19h15 avec l’ensemble des IAE participants.

Newsletter N°4 ; Le 19 novembre 2019              

Pauline Labarrière ; étudiante L3 Gestion

L’IAE de Tours, c’est aussi l’opportunité de s’ouvrir à l’international en allant faire un semestre ou deux dans l’une des nombreuses universités partenaires au cours de votre cursus. Pauline Labarrière, une étudiante en 3ème année de Licence en Sciences de Gestion, qui se trouve actuellement à Chypre, dans le cadre des échanges internationaux a bien voulu partager avec nous son expérience.

  • Qu’est ce qui t’a motivé à partir à Chypre ?

Il y a plusieurs raisons : tout d’abord je suis passionnée par le Moyen-Orient et Chypre se trouve en plein milieu du Moyen-Orient. Historiquement, c’est très intéressant parce ce que l’île est divisée en deux : le nord est occupé par la Turquie et le sud est grec. Moi je suis dans la partie grecque. C’est vraiment impressionnant d’y vivre et en plus il fait très beau ici. Et puis il n’y avait qu’une seule place pour Chypre et je me suis dit que si je voulais vivre une aventure autant que je parte toute seule pour éviter de me reposer sur les autres.

  • Est-ce que tu bénéficies d’aides financières venant de l’université ?

Oui. Il faut savoir que l’université de Tours est très généreuse au niveau des aides. Celles-ci varient en fonction du coût de la vie du pays où tu pars étudier. D’ailleurs il est possible de cumuler avec la bourse étudiante. Pour ma part je ne suis pas boursière, mais j’ai eu droit à des subventions et à coté je travail.

  • Quel a été l’apport de l’IAE dans tes démarches ?

Toutes nos démarches ont été faites l’année dernière et les responsables des échanges internationaux étaient là pour nous aiguiller dans le dossier à constituer et nous fournir les informations importantes.

  • Est-ce que tu as les mêmes matières que les étudiants en L3 gestion ?

Par la suite, j’ai envie de travailler dans le management du sport donc je me suis orientée dans le domaine du sport mais tout en étant dans le marketing. Avant de partir on choisit nos matières. Moi j’en ai 5 : histoire du sport et société, management du sport et développement, social media marketing, ressources humaines et introduction au management. On a aussi la possibilité de prendre des cours de perfectionnement gratuits en anglais.

  • Quels conseils donnerais-tu à un étudiant qui souhaite se lancer dans cette aventure ? 

Premièrement qu’il se renseigne bien sur le pays ainsi que sur ce qu’il veut faire par la suite comme métier. Qu’il n’ait pas peur de la barrière des langues et de l’argent. Qu’il n’hésite pas à parler aux étudiants qui sont déjà partis à l’étranger pour avoir plus de conseils. Franchement c’est une expérience de dingue en deux mois j’ai appris beaucoup de choses.

Newsletter n°3 : le 19 mars 2019

La soirée interculturelle jeudi 28 février 2019 du projet global students a été l’occasion pour les étudiants de l’IAE de Tours de découvrir d’autres cultures avec des étudiants étrangers.

Aymeric LECOQ, ancien étudiant de l’IAE de Tours nous raconte son expérience à Bochum en Allemagne…

  • Dans quel pays et université avait-tu fais ton Erasmus ? Pourquoi avoir choisis ce pays ?

Je suis parti en Erasmus pendant l’année 2011-2012 à Bochum en Allemagne, parce que cela faisait partie d’une des possibilités qu’offrait l’université et en plus c’était aussi bien un langue qu’un pays qui m’attirait.

  • Comment as-tu choisi l’université ? As-tu consulté un classement pour connaître la réputation de la fac ?

Je n’ai pas eu le choix, c’était plus une école similaire à une IUT mais qui fait des formations jusqu’au master.

  • Pourquoi avoir choisis l’Erasmus ? Tes motivations/Projet longuement réfléchis ou coup de tête ?

C’était un mélange à la fois de volonté de changement, de découverte d’un nouveau pays, d’une nouvelle langue d’une nouvelle culture et puis c’est une belle opportunité à titre personnel et même professionnel aussi.

C’était un projet longuement réfléchis même si j’avais aussi pas mal d’hésitation entre l’appréhension d’arriver tout seul, de ne pas connaître la langue. J’ai pris contact avec un ancien élève qui y était pour lui poser des questions d’ordre pratiques : c’est toujours bien d’avoir un retour de quelqu’un qui y était.

  • Quelles sont les démarches que tu as dû faire et des aides dont tu as bénéficié ?

Une grosse partie des démarches administratives d’inscription se fait tout seul, après sur place pareil j’étais un peu livré à moi-même pour l’inscription. En revanche la partie logement était prévue à l’avance dans le cadre de l’échange ce qui était un bon point.

J’ai bénéficié des aides avec la région centre (aide de mobilité internationale) qui doivent sûrement encore exister.

  • Cette expérience vous a-t-elle aidée au niveau professionnel ?

Elle m’a surtout permis de beaucoup progresser en anglais et du coup cela m’a un peu aidé sur le CV, car au quotidien avec tous les autres étudiants Erasmus (venant d’Italie, d’Espagne, de Roumanie etc) la langue d’usage était l’anglais.

  • Parle nous de l’accueil

Sur place il y avait un comité d’accueil, j’étais avec plusieurs autres français mais également d’autres pays, c’était assez positif, tout au long de l’année des sorties étaient organisées, des échanges au niveau linguistiques. On a été très bien accueilli tout au long.

  • Erasmus une expérience refaire ?

Oui sans hésitation, c’était une très bonne expérience surtout d’un point de vue personnel avec l’apprentissage sur soi-même.

  • Quelques mots d’encouragement et conseil pour quelqu’un qui hésite à partir ?

N’hésitez pas, toute expérience est bonne à prendre dans la vie et en général c’est le genre d’option qu’on ne retrouvera pas après dans le monde professionnel. Il ne faut donc pas hésiter à découvrir d’autres pays, de nouvelles cultures, langues et personnes.

Newsletter n°2 : le 6 février 2019

Le Mercredi 30 janvier 2019 se tiendra à l’IAE de Tours, la conférence sur les possibilités de départ à l’étranger, organisée par le projet global students. Chaque année, de nombreux étudiants de l’IAE de Tours, se prêtent à l’expérience via le programme Erasmus.

Claire GUILLAUME, étudiante à l’IAE de Tours en master 1 Marketing des services parcours expérience client, nous raconte son expérience en Espagne…


  • Dans quel pays et université fais-tu ton Erasmus ? Pourquoi avoir choisis ce pays ?

Je suis à Santander dans le nord de l’Espagne depuis septembre jusqu’en juin 2019 dans l’Université de Cantabrie. J’ai choisis l’Espagne puisque tout d’abord c’était un choix amical avec une amie pour vivre l’aventure à deux. Puis, honnêtement puisque c’était seul pays hispanique proposé avec un entretien de sélection en espagnol (dans le cadre de l’Europe). Je ne suis pas douée en anglais… et puis l’Espagne c’est un chouette pays !

  • Pourquoi avoir choisis l’Erasmus ? Tes motivations/Projet longuement réfléchis ou coup de tête ?

J’ai connu les possibilités de mobilités, premièrement, par le biais des expériences ERASMUS de mon entourage. Deuxièmement, par le projet universitaire dans lequel j’étais en Licence 3 (OBJECTIF IAE), qui avait un pôle mobilité international. Mon envie s’est concrétisé lors d’une réunion que ce pôle organisé, autour des possibilités d’études à l’étranger, la présentation des destinations et des conseils donnés afin que ça se réalise. C’est aussi une volonté que je voulais réalisée durant mes études, et nécessaire pour se démarquer dans la vie professionnelle, notamment pour les langues, l’autonomie et la curiosité. C’est aussi une pour vivre une expérience souvent décrite comme incroyable par les étudiants l’ayant vécue.

  • Quelles sont les démarches que tu as dû faire et des aides dont tu as bénéficié ?

Tout est très bien pris en charge et nous sommes très bien accompagnés par les relations internationales de l’Université François Rabelais de Tours (merci Claire DURAND). Il y a une plateforme en ligne qui récapitule les documents à fournir avant, pendant et après l’échange universitaire. Le plus dur… si c’est une difficulté… est de faire attention aux dates d’envoi du dossier à son Université partenaire. Sinon c’est juste des papiers à signer, le choix des matières, photocopie de carte d’identité, demande de carte d’assurance…

Les aides financières versées sont correctes. J’ai divisé les aides financières par le nombre de mois ici, mais à chacun son organisation budgétaire… Je dirai que je dépense 400 euros par mois en comptant tout de ma vie quotidienne, sportive… mais sans compter mon loyer.

  • Comment as-tu choisi la fac ? As-tu consulté un classement pour connaître la réputation de la fac ?

Je n’ai pas eu le choix de l’université, elle est imposée quand tu choisis dans la ville où tu veux partir. Par ailleurs, la réputation de mon université ici est très bien, elle est dite d’excellence en Cantabrie. Cependant, je n’ai pas vraiment d’équivalence à proprement parlé. Ici, je suis des cours de 1ereà 4èmeannée et Master dans le cursus d’Administration et Gestion des entreprises et non spécialisés uniquement en marketing.

  • Où es-tu logé ? Comment as trouvé ce logement ?

Pour mon logement, je me suis aidée de AIRBNB. J’ai fait plusieurs demandes et finalement j’ai trouvé un super appart, au même prix que ceux de Tours, et en plein centre-ville.

  • Quels sont les démarches à faire sur place ?

En arrivant sur place, le principal est d’avoir des habitudes, de découvrir le quartier et de créer des piliers puisque vous arrivez dans une ville inconnue où la langue maternelle n’est pas parlée. En termes de démarches, il faut aller au bureau des relations internationales afin de conclure les papiers d’arrivée… ou bien trouver un moyen de prendre les transports avec une carte de bus…

  • Quelles sont les différences par rapport à la vie étudiante en France ?

Ici en Espagne, ils ont un rythme de cours différent de la France, c’est-à-dire qu’ils ont cours soit que le matin, soit l’après-midi. C’est un emploi du temps fixe avec des horaires décalés que ceux de France (Après-midi : 15h – 19h). Ce n’est pas épuisant mais nos cours choisis demandent un travail personnel important (puisque tous les cours sont en espagnol). L’organisation globale est bonne et simple. Le campus est moderne et propose de nombreux évènements étudiants et notamment une journée internationale. C’est cool d’être une étudiante étrangère, tu es souvent très chouchouté. Tu peux grave faire pleins de choses à côté de tes cours, profiter un max de ta vie ERASMUS.

  • Quelles sont les difficultés rencontrées ?

L’adaptation à une nouvelle vie n’est pas simple les premiers jours, puis au fur et à mesure les habitudes se construisent. La barrière de la langue est aussi une difficulté au quotidien mais tout devient rapidement facile ! La maitrise plusieurs langues c’est un atout !

  • Résume ton séjour.

C’est une aventure que je vis avec Clothilde, à 2 et je ne vois pas les semaines passées. Un peu le mal du pays les premiers jours, de se dire qu’on est loin de nos piliers, de nos proches… et puis il faut reconstruire sa nouvelle petite vie pour un an. L’association ESN qui regroupe tous les étudiants ERASMUS de la ville gère particulièrement bien l’intégration par de nombreuses activités, week-end, découvertes. Dès le première week-end, nous avons eu notre WEI d’intégration, cela a permis rapidement de se rencontrer (Italiens, suédois, Mexicains…). Toutes les semaines, est organisés 2-3 activités (Soirées à thèmes, activités sportives, sorties culturelles…). C’est vraiment top ! Il faut aussi faire des choses en dehors de tous ses évènements (inscription dans une salle de sport…).

  • L’expérience a-t-elle été enrichissante ?

Mon expérience en 3 mots : enrichissante, unique et dépaysante.

  • Quelques mots d’encouragement et conseil pour quelqu’un qui hésite à partir ?

De ne pas hésiter une seule seconde !

Newsletters n°1 : le 29 novembre 2018

  • Peux-tu nous parler un peu de ton parcours s’il te plaît ?J’ai obtenu l’année dernière ma Licence en sciences de gestion et cette année je suis inscrite à l’IAE en master 1 gestion des PME et entrepreneuriat mais je suis en Norvège pour un an dans le cadre des échanges Erasmus.
  • Pourquoi avoir choisi la Norvège ?Tout d’abord parce que les norvégiens ont un très bon niveau d’anglais, ce qui me permettrait d’améliorer le mien et aussi pour pouvoir découvrir le pays avec sa culture et ses magnifiques paysages.
  • Quelles sont les démarches que tu as eu à faire pour aller en Norvège ?C’est un pays qui est dans la zone Schengen donc il n’y a pas de visa requis pour s’ y rendre, il faut juste se déclarer sur le site français comme expatrié et à part cela je devais m’inscrire dans l’université et j’ai dû passer des examens d’anglais.
  • De quelles aides as-tu pu bénéficier ?Qu’on soit boursiers ou pas on bénéficie des aides Erasmus ou Erasmus plus ; le montant dépend du coût de la vie dans le pays d’accueil. Il y a aussi des aides de la région Centre Val de Loire. On devait juste saisir toutes les informations sur un site et l’université de Tours s’est occupée de tout le reste.
  • Comment étaient tes débuts en Norvège et à l’université surtout ?Des parrains nous ont été attribués et une semaine d’intégration a également été organisée pour tous les étudiants Erasmus : des français, des allemands, des belges etc… L’université nous a offert un weekend à l’autre bout du pays avec tous les frais pris en charge y compris le trajet. Toutes ces occasions nous ont permis de faire connaissance et d’échanger avec le maximum de personnes.
  • Si tu devais résumer en quelques mots ton séjour jusqu’à présent, que dirais-tu ?Puisque qu’on n’a pas beaucoup d’heures de cours (8h par semaine), on a assez de temps libre et cela nous permet de voyager ; on est allés en Roumanie, au Danemark. Il y a une mixité culturelle très intéressante et une plus grande ouverture d’esprit qu’en France donc on passe de très bons moments tant avec les étudiants norvégiens qu’avec les autres étudiants Erasmus.
  • Quelques mots d’encouragement pour quelqu’un qui hésite à partir ?On a la chance qu’on nous propose ce type de parcours donc il faut en profiter. Cela permet de grandir car on doit prendre nos propres décisions, dans un environnement différent et c’est vraiment bénéfique.